Paris (Marc Lavoine)
Je m'assoie sur tes bancs
Je regarde les monuments
Je trinque à la santé de tes amants
Je laisse couler ta Seine
Sous les ponts ta rengaine
Toujours après la peine
Santiano (Hugues Auffray)
C'est un fameux trois-mâts
Fin comme un oiseau
Hisse et ho, Santiano!
Dix-huit noeuds,quatre cents tonneaux:
Je suis fier d'y être matelot.
Les marionnettes (Christophe)
Moi, je construis des marionnettes,
Avec de la ficelle et du papier.
Elles sont jolies les marionnettes,
Je vais, je vais vous les présenter.
Education sentimentale (Maxime Leforestier)
C'est au crépuscule
Quand la libellule,
S'endort au marais.
Qu'il faudra, voisine
Quitter la colline
Et vite rentrer.
Ne dis rien ma brune
Pas même à la lune...
On écrit sur les murs (Kids United)
On écrit sur les murs la force de nos rêves
Nos espoirs en forme de graffitis
On écrit sur les murs pour que l'amour se lève
Un beau jour sur le monde endormi
La montagne (Jean Ferrat)
Mon dieu que la montagne est belle
Comment peut on s'imaginer
En voyant un vol d'hirondelles
que l'automne vient d'arriver.
C'est extra (Léo Ferré)
Une robe de cuir comme un fuseau
Qu'aurait du chien sans le faire exprès
Et dedans comme un matelot
Une fille qui tangue un air anglais
Colchiques dans les près
Colchiques dans les près
Fleurissent, fleurissent
Colchiques dans les près,
C'est la fin de l'été
La feuille d'automne
Emportée par le vent
En rondes monotones
tombent en tourbillonant
La valse à mille temps (Jacques Brel)
Au deuxième temps de la valse
On est deux, tu es dans mes bras,
Au deuxième temps de la valse
Nous comptons tous les deux: une deux trois
Et Paris qui bat la mesure
Paris qui mesure notre émoi
Et Paris qui bat la mesure
Nous fredonne , fredonne déjà
Face à la mer (Calogero)
Face à la mer
J'aurais dû grandir
Face contre terre
J'aurais pu mourir
Je me relève
Je prends mon dernier rêve
Thème libre
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